Cette lectrice revient sur la lettre d’Edouard Coquoz intitulée «Un long chemin» publiée dans l’Echo Magazine no 46 du 16 novembre.
Je remercie votre lecteur d’avoir mis l’accent sur une vérité qui s’applique à tous les conflits, à savoir qu’«il faudra bien un jour s’asseoir à la table des négociations». J’en ai profité pour lire le texte de l’allocution du président égyptien Anouar el-Sadate devant la Knesset – le Parlement israélien- en novembre 1977 et relever ces deux phrases: «Le premier fait est qu’il ne peut y avoir de bonheur pour quiconque au prix du malheur d’autrui» et «Je suis venu chez vous pour qu’ensemble nous puissions construire une paix permanente et juste et éviter que soit versée une seule goutte de sang d’un seul Arabe ou d’un seul Israélien». Mon voeu le plus cher est que puisse se lever au Proche-Orient une figure comme Nelson Mandela qui, après 27 ans de prison, avait mis fin pacifiquement à l’apartheid en Afrique du Sud.