Ces lecteurs reviennent sur l’article intitulé «prévenir l’homophobie à l’école» publié dans l’Echo Magazine no 23 du 8 juin.

La majorité silencieuse hétérosexuelle en a marre de se faire constamment conspuer par les minorités. De plus, vos colonnes ne peuvent sérieusement endosser le fait que «100 personnes dans une école de 600» ne s’identifieraient pas comme exclusivement hétérosexuelles! De qui se moque-t-on? Depuis que le monde existe, l’adolescence est une période de questionnement. La Suisse est stupide de permettre de changer d’identité sexuelle à loisir, car il n’y a que d’1% à 4% de sexe indéterminé à la naissance, soit 6 à 24 cas au lieu des 100 cités, et c’est déjà beaucoup! Et je tourne la page de votre revue: «A 23 ans, je sais bien que je ne suis pas totalement définie, encore en cours de construction». C.Q.F.D! Alors à 13 ans, on a toutes les réponses? «Eduquer» aux différences dès la maternelle relève soi-disant de l’endoctrinement. Et vous persistez dans votre article pour des réseaux sociaux responsables: «La meilleure ligne de conduite est souvent de ne pas réagir, ou de réagir par le silence, pour ne pas donner du poids à une fausse dynamique». Dont acte! Et comme le dit si bien Anne Roumanoff: «LGBT: Laissez donc les Gens B…r Tranquille». L’Echo Magazine aurait mieux fait de ne pas servir de caisse de résonance à toutes ces théories woke qui donnent du poids à ce fasciste de Vladimir Poutine contre un Occident décadent. Oui, il faut encore savoir s’indigner contre la stigmatisation de la normalité. Pour les autres, combattre le harcèlement et prôner la tolérance et la bienveillance valent mieux que des revendications clivantes.