Intelligence artificielle

Ce lecteur revient sur l’article intitulé «Plus de questions que de réponses» paru dans l’Echo Magazine no 22 du 1er juin.

Rien ne sert de pester contre l’intelligence artificielle (IA). Nous l’utilisons chaque jour avec profit pour la régulation du trafic en ville, les correcteurs d’orthographe et les systèmes de traduction instantanée. Un fait historique fut à cet égard à New York en 1977 la victoire remportée sur le champion du monde d’échecs Garry Kasparov par un ordinateur IBM de 1,80 mètre de haut et pesant 1,4 tonne, donc largement supérieur en taille et en poids à un cerveau humain. Des revues spécialisées avaient mentionné à l’époque que l’ordinateur avait joué quelques coups dignes d’un grand maître, mais il s’est avéré que l’un d’eux avait été un bogue non programmé. L’intelligence est propre à l’homme et non à la machine et tout va dépendre de l’usage que l’on en fait. Les craintes sont donc fondées. Quant à l’aspect juridique de l’IA, on est encore loin d’en voir la fin. Face à ces enjeux colossaux «où l’on ne touche pas le puck», il semble malheureusement que nous n’ayons pas d’autre choix que de faire confiance aux décisionnaires.

Edouard Coquoz, Genève

 

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