Un seul bouquet
De quoi pourrions-nous nous priver encore durant ce carême? Cette question, nous pouvons nous la poser en ce temps où les contraintes sanitaires se prolongent, continuant de ralentir notre vie communautaire.
De quoi pourrions-nous nous priver encore durant ce carême? Cette question, nous pouvons nous la poser en ce temps où les contraintes sanitaires se prolongent, continuant de ralentir notre vie communautaire.
De confinements en semi-confinements, la Covid-19 a ébranlé l’Eglise et désorienté nombre de croyants. Elle a aussi permis l’émergence d’une créativité porteuse d’avenir. L’heure est à la réforme pour une Eglise plus proche des préoccupations de nos contemporains.
En nommant, le 6 février, Soeur Nathalie Becquart sous-secrétaire du Synode des évêques, le pape François a fait un pas de plus – et quel pas! – vers la féminisation de la Curie: la xavière française de 52 ans devient la première femme à avoir le droit de vote au synode des évêques, donc à avoir part aux décisions dans l’Eglise catholique; elle devient aussi la première femme à occuper un poste de numéro deux d’un dicastère.
Le 7 février, cela fera cinquante ans que les Suissesses peuvent voter et être élues au niveau fédéral. Un droit conquis après plus d’un siècle de lutte et des échecs réitérés dans les urnes.
Le pape François a lancé une année saint Joseph le 8 décembre. Un an pour mieux connaître l’époux de Marie et père de Jésus, demander son aide et s’inspirer de son exemple en ce temps de pandémie.
La Covid-19 a bouleversé la vie des Eglises cette année. De mars à décembre, elles ont cheminé en terre d’incertitude entre suppressions et reprises des messes publiques.
Noël est là avec ses lumières dans les rues, des sapins et des crèches dans nos maisons, et nous nous apprêtons à nous retrouver en famille. Pour faire de ce jour un jour de fête malgré tout.
Longtemps l’Eglise a cultivé la haine du corps, le mépris de la chair, lieu des tentations et du péché et obstacle sur le chemin de la vie chrétienne. Pour Jean Pierre Brice Olivier, notre incarnation est, au contraire, un chemin de libération. Il le dit avec force dans La chair en corps.
Son titre est tout un programme. Si Un temps pour changer livre les réflexions inspirées au pape François par la Covid-19, il est surtout un puissant appel à vivre l’aujourd’hui, tragique et incertain, comme une occasion de se convertir pour bâtir un monde fraternel.
Les Eglises protestante, catholique romaine, catholique chrétienne et la communauté juive libérale de Genève ont exigé, le 27 novembre, la levée de l’interdiction dont elles sont l’objet pour les cultes, messes et cérémonies. Colère et incompréhension.
05-07-2022
Marcher libère. Aux plans physique, psychologique, spirituel. Que l’on fasse le tour de son quartier ou se rende aux confins du monde. Nous sommes faits pour marcher, dit Gaële de...
05-07-2022
Notre série d’été «En marche!» vous emmène sur les grandes routes de pèlerinage qui traversent la Suisse – la Via Jacobi, la Via Francigena –, mais aussi sur des chemins...
05-07-2022
La Grande Boucle, qui accueille à nouveau le public sans restriction, fera halte en Suisse romande ce week-end, se réjouit Daniel Atienza, le consultant de la RTS. L’ex-professionnel parle de...
05-07-2022
La beauté des arts prouve Dieu et la révélation qui ne craignent pas l’examen de la raison, affirme François-René de Chateaubriand (1768-1848) dans le Génie du christianisme. Avec cette œuvre...
05-07-2022
Bien des lecteurs de la Bible sont surpris par la double numérotation d’une majorité de psaumes. Ainsi le psaume du bon berger sera le 22 ou le 23, selon que...
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