Instabilité, répression, catastrophes naturelles: lorsque leur terre d’origine est en crise, les expatriés sont rongés d’inquiétude pour leurs proches ou leur pays. Même lorsqu’ici l’actualité se détourne de la Birmanie, de l’Iran, du Pérou ou de la Turquie.

Ordinateur, Smartphone, télévision: enfants et adolescents passent un temps croissant devant les écrans. Nécessité ou calamité? Invités par l’Université de Genève, trois chercheurs ouvrent des pistes pour bien vivre avec ces appareils.

Les enfants de familles monoparentales développent un nombre certain de compétences en termes d’organisation. C’est ce que montre une étude en cours de l’Université de Lausanne qui donne la parole à de jeunes Vaudois et Genevois dont les parents ne vivent plus ensemble.

Dans une cour de récréation, les enfants ne font pas que jouer: ils développent leur posture dans l’espace public. Or à cet égard, filles et garçons n’ont pas les mêmes opportunités. Pour favoriser l’égalité des genres, des autorités repensent les préaux.

Parce que leurs grands-parents sont décédés ou en raison de la distance géographique, des enfants grandissent sans connaître leurs aînés. Dans le Jura, la Croix-Rouge met en lien des seniors et des familles qui tiennent à cultiver ces échanges intergénérationnels.

Les modèles familiaux se multiplient et leur diversité supplante le traditionnel schéma papa-maman-enfants. Cela représente un défi aussi pour les éducateurs, enseignants et autres professionnels qui accompagnent les enfants. Des spécialistes ont fait le point à Fribourg.

Bien des papas et des mamans se demandent comment aider leur petit à trouver facilement un sommeil profond. Si le tempérament joue un rôle, certains comportements peuvent y aider. La psychologue française Héloïse Junier livre des clés dans un récent ouvrage.

Semblables à un hélicoptère, un drone ou un curleur, les hyper-parents rêvent de perfection et s’agitent beaucoup. Décrypté par le psychopédagogue Bruno Humbeeck, le phénomène gagne en importance en Occident.

Les écueils sont nombreux pour les réfugiés afghans en Suisse. Ce n’est que près de neuf ans après son arrivée que Naser Ahmadi a pu obtenir son propre logement. Le soutien de la famille qui l’a accueilli à Genève n’y est pas étranger.

Confrontées à une pénurie de personnel, les écoles suisses ont engagé un nombre important d’enseignants non diplômés. Une mesure qui ne semble pas menacer la qualité des cours, mais qui ne peut être que provisoire: il faut revaloriser la profession.