La semaine de 4 jours
Travailler quatre jours en étant payé pour cinq accroît la productivité: c’est la conclusion d’une expérience menée au Royaume-Uni par 61 entreprises. En Suisse, ce modèle reste rare. Succès et faisabilité ne sont pas garantis.

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Valorisés au travail
Travailler moins pour gagner autant: qui refuserait? C’est ce que suggèrent les partisans de la semaine de quatre jours: trente-deux heures payées à 100%. Alors que de plus en plus d’entreprises offrent la possibilité de faire du télétravail et d’aménager ses horaires à sa guise, certains la considèrent comme le nouveau moyen d’attirer des talents.

Une cathédrale intérieure
Le psychodrame qui se joue en France autour la réforme de la retraite, dont l’âge légal devrait passer de 62 à 64 ans, nous interroge sur l’idée que nous nous faisons du travail. Certes, même les plus passionnés par leur métier aspirent, un jour ou l’autre, à lever le pied. Mais bon nombre d’opposants à la réforme battant le pavé des villes françaises voient la retraite comme une délivrance après des décennies de dur labeur.

Une retraite difficile
Licenciée trois ans et demi avant la retraite, Huguette Laurent a tout fait pour retrouver un emploi. En vain. Forcée de piocher dans son 2e pilier, cette Vaudoise a vu le fruit d’une vie de travail partir en fumée. «Tout ça parce que les ‘vieux’ coûtent trop cher aux employeurs.» Jusqu’à quand?